Les initiatrices de cette loi-cadre de protection intégrale contre les violences sexistes et sexuelles dénoncent le manque de moyens et une justice pas à la hauteur face à l’ampleur du phénomène et malgré l’augmentation des signalements depuis le lancement du mouvement #metoo.Dans la vieille ville d’Avignon près du palais de justice où Dominique Pelicot est jugé avec 49 autres accusés pour avoir drogué son ex-femme Gisèle, le 16 octobre 2024.
Une coalition féministe présente 140 mesures pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles
Scritto il 21/11/2024